![Olivier Carbone [Amnesty/Talend/Epitech]](https://ocarbone.2point0.org/wp-content/uploads/2025/02/cropped-ocarbone2point0.org_.gif){kind=small}
J’entends beaucoup parler d’Entreprise 2.0 depuis l’article du 24 juillet de Fred Cavazza : “Qu’est ce qu’une entreprise 2.0 ?” – Merci Hicham pour le lien 😉
Le nombre important de commentaires postés à la suite de cet article nous montre l’engouement provoqué aujourd’hui par le concept d’Entreprise 2.0. A ce sujet, lisez donc le commentaire de Gilles Misrahi.
A noter aussi, le retour d’experience de Gilles Satgé qui accompagne des entreprises depuis plus de 5 ans dans l’utilisation des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Le passage à l’Entreprise 2.0 nécessite certainement une véritable conduite du changement.
Les services Web 2.0 sont nombreux et surtout de plus en plus connus. Aussi, les entreprises qui ne prennent pas le tournant assez vite risquent d’avoir une surprise : leurs salariés pourraient utiliser les blogs et forums public pour organiser leur brainstorming, voire même des services de partage de fichiers, de visio-conférence… Difficile d’assurer alors la sécurité des informations de son entreprise !
Je t’en prie 😉
Dans le même temps, tous les salariés ne sont pas dans une volonté d’apprentissage. Il faut pas parler de rss ou atom … mais montrer un exemple dans un projet et faire un groupe test …
Je ne comprend pas bien ton commentaire. Cet article invite les entreprises à mettre des outils 2.0 à la disposition des salariés … avant que les salariés prennent l’habitude d’utiliser des outils externes au réseau de l’entreprise. Certe, seul les salariés ayant une culture web2.0 sont concernés … donc peu de monde, mais le risque existe bel et bien.
Pardon, le commentaire a été rédigé à une heure avancée et après un week-end de travail.
Tu as parfaitement exprimé le fond de ma pensée, il faut que les salariés aient une culture web2.0, tout simplement et une forte envie de s’y mettre.
L’illustration suivante est extraite de “Organization 2.0 is organism 2.0“, un article publié sur http://tarina.blogging.fi par Teemu Arina.
Je viens de visiter un blog qui retrace l’expérience d’une mise en place de solutions 2.0 au sein d’une entreprise. 5 minutes suffisent à le visiter car tout est synthétisé sur une seule page : http://2point0fromscratch.wordpress.com
Jérôme me signale que son auteur est à l’origine d’un buzz dont vous vous souvenez peut-être : le cv 2.0
Je réagis que maintenant car je fais un tri sur toutes mes lectures en retard…
J’avais mis de coté le blog 2point0fromscratch car l’initiative était super intéressante : j’attendais quelques temps pour voir l’évolution de l’aventure ! Et….voilà que je découvre le résultat : en effet, tout est résumé en une page 😉
Dommage… en espérant que le blog reparte plus tard. Si tu tombes sur d’autres initiatives du genre, n’hésites pas !!
En avril 2008, le CNRS publie des recommandations condamnant l’utilisation des services externes à l’entreprise.
Comme vous pouvez le devinez, je trouve les recommandations du CNRS justifiées, notamment l’extrait suivant :
Aux responsables des systèmes d’information, il est rappelé que la meilleure façon d’éviter que les utilisateurs ne soient tentés de recourir à des services externes est de fournir en interne un service de qualité.
Ce document permet de sensibiliser ceux qui n’ont pas conscience des risques pris lors de l’utilisation de tel service et en cela je trouve ce document très intéressant et ne serai pas étonné qu’il soit distribué lors de formation dont le thème touche de près ou de loin le web. L’ère numérique offrent beaucoup de changement et il est important de les accompagner.
Reste que les solutions du web 2.0 sont si intéressantes que l’on ne peut pas s’en passer … aussi il faut les intégrer rapidement dans les outils internes de toutes les entreprises !
Citant une article du Journal du Net, Xavier nous parle de la fracture numérique en entreprise.
Même si certaines professions prédisposent à une compréhension plus rapide des enjeux du web 2.0, force est de constater qu’une fracture numérique existe aussi en entreprise !